Roman

Le club des incorrigibles optimistes

Auteur : Guenassia, Jean-Michel

Format : 736 pages

Note :

Editeur : Albin Michel

Année de parution : 2009

La 4ème de couverture

Michel Marini avait douze ans en 1959, à l’époque du rock’n’roll et de la guerre d’Algérie. Il était photographe amateur, lecteur compulsif et joueur de baby-foot au Balto de Denfert-Rochereau. Dans l’arrière-salle du bistrot, il a rencontré Igor, Léonid, Sacha, Imré et les autres, qui avaient traversé le Rideau de Fer pour sauver leur peau, abandonnant leurs amours, leur famille, trahissant leurs idéaux et tout ce qu’ils étaient. Ils s’étaient retrouvés à Paris dans ce club d’échecs d’arrière-salle que fréquentaient aussi Kessel et Sartre. Et ils étaient liés par un terrible secret que Michel finirait par découvrir. Cette rencontre bouleversa définitivement la vie du jeune garçon. Parce qu’ils étaient tous d’incorrigibles optimistes. Il manifeste un naturel épatant pour développer une dispute à table, nous faire partager les discussions entre un Russe communiste et un Hongrois antistalinien.

Le pitch

Un magnifique roman que je n’avais pas envie de refermer.

Roman d’une époque, d’une génération, les années 60 : la guerre d’Algérie, les Intellectuels, le communisme, l’adolescence… tous ces thèmes sont traités de façon naturelle et légère.

Michel Marini, passionné de littérature, photographie et rock n’roll va découvrir dans l’arrière salle du bistrot Le Balto où il a ses habitudes, un mystérieux club d’échec où il croisera des personnages haut en couleurs. Des réfugiés de l’Est mais aussi Sartre ou Kessel.

Ces rencontres vont changer sa vie ! Chacun a son Histoire, tous ont un secret.
Michel d’un naturel curieux et loyal va apprendre au travers de toutes ces rencontres l’engagement politique, la solidarité, la trahison, le pardon, les Hommes, la vie, l’amour.

L’avis de Marion

Sans être un expert en histoire, on ne ressent pas de lacunes en le lisant. On a l’impression d’être dans l’histoire. Sartre et Kessel buvaient-ils des cafés au Balto ???

Le ton est juste, léger et drôle malgré un contexte un peu dur.
C’est un vrai plongeon dans le temps.
On le referme avec nostalgie, en souvenir du Paris des années 60 que l’on s’imagine et de l’adolescence et ses apprentissages.

C’est un roman touchant et captivant. C’est une pensée optimiste qui ne peut pas laisser indifférent.

Pour briller en soirée

Le club des incorrigibles optimistes a été publié en 2009 comme étant le premier roman d’un inconnu dans l’édition. Cependant, Jean-Michel Guenassia a écrit auparavant de nombreux scénarios pour la télévision ainsi qu’un roman policier en 1986, Pour cent millions.

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