Roman

Gatsby le magnifique

Auteur : Fitzgerald, F. Scott

Format : 279 pages

Note :

La 4ème de couverture

Nous sommes au lendemain de la Grande Guerre, le mal du siècle envahit les âmes. C’est l’époque de la Prohibition et des fortunes rapides. En 1922, Jay Gatz, désormais Gatsby, se retrouve fabuleusement riche. Mille légendes courent sur son compte, qui n’empêchent pas les gens chic – et moins chic – de venir en troupe boire ses cocktails et danser sur ses pelouses.Gatsby le Magnifique joue la carte des folles dépenses pour éblouir Daisy, mariée à Tom Buchanan, un héritier millionnaire.
Le jour où l’espoir de conquérir sa bien-aimée s’évanouit, la fête prend fin brutalement…
Gatsby le Magnifique est un des romans emblématiques de la littérature américaine du XXème siècle.

Le pitch

L’histoire se déroule pendant les années folles. Il y faisait certainement bon vivre, mais ce n’est pas la période historique qui m’intéresse le plus. Cette surabondance de luxe et d’argent (en tout cas dans Gatsby) me met même plutôt mal à l’aise. C’était, j’imagine, fait exprès, et donc une critique de la société américaine écrite par Fitzgerald. De la superficialité, de la jalousie, l’éloge de la richesse, tout y est…

Nick, le narrateur, se retrouve par hasard à louer une petite maison aux alentours de New-York, dans une zone très résidentielle.
Il découvre qu’il est plus ou moins voisin avec Daisy , sa cousine germaine, et Tom son mari. Il se rapproche également de Jordan, une joueuse de golf professionnelle.
L’histoire démarre réellement lorsque Nick se lie d’amitié avec Gatsby, beau gosse riche et énigmatique qui organise d’immenses fêtes dans sa villa.
L’amour des uns et des autres sera évidemment au centre de l’intrigue du livre et nous avancerons avec eux jusqu’au retournement final ou twist ending pour les anglophones.

L’avis de Julien

J’aime alterner les différents types de lecture. Je passe souvent d’un thriller à un roman sur la guerre, d’un roman de science-fiction à une biographie…
Il arrive donc régulièrement qu’un « classique » se retrouve posé sur ma table de chevet.

Plutôt fan de certains américains comme Steinbeck et son célèbre Des Souris et des Hommes ou Hemingway et son magnifique Pour Qui Sonne le Glas je ne pouvais pas passer à côté de Gatsby le Magnifique de Fitzgerald.
J’avais par contre été un peu échaudé par d’autres auteurs américains mondialement connus comme Salinger et son Attrape-Cœurs ou Kérouac et son Sur la Route et j’avoue avoir également été plutôt déçu par Gatsby.

J’ai trouvé le livre lent, un peu superficiel, et je n’ai pas trop accroché non plus avec Gatsby. Cette lenteur permet cependant de vivre le coup de théâtre final avec surprise.

Pour briller en soirée

Francis Scott Fitzgerald était très proche d’Ernest Hemingway et d’autres artistes de sa génération.
Sa relation avec Zelda est également très connue, relation passionnelle et orageuse. Nous pouvons nous les représenter notamment grâce au film Minuit à Paris de Woody Allen.

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